Ma maman adorée et moi - Fête des mères 2010
Non, je ne parlerai pas ici de la reine d’Angleterre ou d’une quelconque grande vedette. Aujourd’hui, en cette journée de la fête des mères, je veux rendre hommage à celle qui m’a donné la vie. Cette qui m’a bercé pendant de longues nuits et qui m’a aimé de tout son cœur.
Toutes les mères souffrent pour leurs enfants, c’est normal. C’est un rôle tellement ingrat. Ma mère ne fait pas exception. Après avoir perdu quatre enfants avant ou après la naissance, elle avait adopté ma sœur. Elle pensait que la vie ne lui donnerait pas d’enfant biologique. Cependant, quatre ans plus tard, elle tombait enceinte à nouveau. Cette fois-là serait-elle la bonne? Elle a passé au-delà de 90 jours à l’hôpital à la fin de sa grossesse et les docteurs ont tout fait pour que cette fois soit la bonne. Elle le voulait tellement, tout comme mon père. Eh bien, le bébé a survécu et est devenu celui qui écrit ce texte aujourd’hui.
Au début de ma vie, j’ai eu beaucoup de problèmes. J’ai attrapé toutes les petites maladies qu’un enfant peut avoir. J’avais des intolérances au lait et beaucoup de coliques. Ma mère a passé des nuits entières à me bercer parce que je pleurais toujours. Avec toute sa patience et son amour, elle m’a prodigué tous les petits soins imaginables et m’a aidé à passer au travers de tout ça.
Pendant longtemps, j’en ai voulu, périodiquement, à mes parents d’avoir mis au monde cet être que je détestais tellement voir dans mon miroir chaque matin. Je me disais que j’aurais dû faire partie des statistiques et ne jamais survivre à la naissance. Mais, aujourd’hui, je suis reconnaissant. J’ai grandi dans un foyer où l’amour régnait. Je ne me suis jamais aimé, mais mes parents m’ont aimé assez pour compenser 1000 fois. Ils m’ont gardé sur le droit chemin, malgré mes écarts pas si graves, et m’ont mis sur la bonne voie pour rencontrer la femme magnifique que j’ai mariée.
Aujourd’hui, je veux rendre hommage à ma mère, Laurette (Lebel) Poitras, une femme forte et aimante, une femme magnifique que j’aime beaucoup et que je respecte énormément. Je lui dis merci d’être ce qu’elle est et de m’avoir tout donné d’elle-même. Je n’ai pas toujours été facile à vivre, j’en suis certain. Cela dit, malgré toutes les embûches que la vie a mises sur mon chemin, je sais que je peux au moins toujours compter sur l’amour de ma mère.
Merci maman, je t’aime.
Toutes les mères souffrent pour leurs enfants, c’est normal. C’est un rôle tellement ingrat. Ma mère ne fait pas exception. Après avoir perdu quatre enfants avant ou après la naissance, elle avait adopté ma sœur. Elle pensait que la vie ne lui donnerait pas d’enfant biologique. Cependant, quatre ans plus tard, elle tombait enceinte à nouveau. Cette fois-là serait-elle la bonne? Elle a passé au-delà de 90 jours à l’hôpital à la fin de sa grossesse et les docteurs ont tout fait pour que cette fois soit la bonne. Elle le voulait tellement, tout comme mon père. Eh bien, le bébé a survécu et est devenu celui qui écrit ce texte aujourd’hui.
Au début de ma vie, j’ai eu beaucoup de problèmes. J’ai attrapé toutes les petites maladies qu’un enfant peut avoir. J’avais des intolérances au lait et beaucoup de coliques. Ma mère a passé des nuits entières à me bercer parce que je pleurais toujours. Avec toute sa patience et son amour, elle m’a prodigué tous les petits soins imaginables et m’a aidé à passer au travers de tout ça.
Pendant longtemps, j’en ai voulu, périodiquement, à mes parents d’avoir mis au monde cet être que je détestais tellement voir dans mon miroir chaque matin. Je me disais que j’aurais dû faire partie des statistiques et ne jamais survivre à la naissance. Mais, aujourd’hui, je suis reconnaissant. J’ai grandi dans un foyer où l’amour régnait. Je ne me suis jamais aimé, mais mes parents m’ont aimé assez pour compenser 1000 fois. Ils m’ont gardé sur le droit chemin, malgré mes écarts pas si graves, et m’ont mis sur la bonne voie pour rencontrer la femme magnifique que j’ai mariée.
Aujourd’hui, je veux rendre hommage à ma mère, Laurette (Lebel) Poitras, une femme forte et aimante, une femme magnifique que j’aime beaucoup et que je respecte énormément. Je lui dis merci d’être ce qu’elle est et de m’avoir tout donné d’elle-même. Je n’ai pas toujours été facile à vivre, j’en suis certain. Cela dit, malgré toutes les embûches que la vie a mises sur mon chemin, je sais que je peux au moins toujours compter sur l’amour de ma mère.
Merci maman, je t’aime.
3 commentaires:
Elle est une femme incroyable, c'est certain... et bonne au canasta aussi!
Janette
Oh, quand vient le temps de jouer aux cartes, ma mère est prête. Et elle prend ça au sérieux :)
Aww c'est donc ben beau Marc.
Et wow, on peut voir ta perte de poids paraitre dans ta photo!
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